Visite de la maison

La maison faisant l’objet d’un programme de restauration important, elle n’est pas ouverte au grand public. Il faudra attendre le début de l’année 2025 pour visiter les intérieurs.

Une visite exceptionnelle a cependant été organisée par Bruno Gruel et AMarie Petitjean, le jour anniversaire de Gérard Philipe, le 4 décembre. Elle a permis de revenir sur la carrière et la vie du couple, entre les murs qui ont vu s’épanouir leur vie de famille, et de donner des indications aux visiteurs sur la restauration en cours.

Des demandes de visites pour les membres de l’AMAGP peuvent être adressées au bureau de l’association. Nous serons heureux de vous faire partager nos connaissances et notre passion pour ce couple au trajet exceptionnel dans la France de l’après-guerre.

L’AMAGP a invité les passionnés et les curieux à une visite de l’intérieur de la maison pour les 100 ans de Gérard Philipe.

La visite a prolongé en beauté une semaine très active dans le cadre du centenaire : accroche de l’exposition « Gérard Philipe, icône de la jeunesse » au Douze, projection du documentaire adapté du Dernier hiver du Cid en présence de Jérôme Garcin et Anne-Marie Philipe, projection de Monsieur Ripois au cinéma Utopie, tenue du colloque international « Gérard Philipe, le devenir d’un mythe » à CY Cergy Paris Université et à la BnF, site Richelieu.

Exposition « Gérard Philipe, icône de la jeunesse »

Centenaire de la naissance de Gérard Philipe

L’AMAGP, en partenariat avec l’institut International Charles Perrault, consacré à la littérature de jeunesse, a conçu une exposition pour le jeune public à l’occasion du centenaire de Gérard Philipe.

Il est temps pour les jeunes générations de redécouvrir cette grande figure et de faire de nouveau entendre sa voix chaleureuse qui a tant marqué les enfants d’autrefois !

Pierre et le loupLe petit PrinceLes fables de La Fontaine, Mozart raconté aux enfants…. 

Vous pourrez voir les 13 panneaux de cette exposition au Douze, allée des petits pains à Cergy, à partir du 29 novembre, ainsi qu’au Petit salon du livre jeunesse, le 10 décembre, à l’Hôtel d’agglomération de Cergy. Munissez-vous d’un téléphone portable pour actionner les QR codes !

Gérard Philipe (1922-1959), acteur français. Paris, 1946.

Consultation des archives

Maison Jean Vilar à Avignon

La Maison Jean Vilar à Avignon accueille 2 fonds d’archives que l’on peut consulter sur rendez-vous :

  • un fonds conservé par l’antenne BnF
  • un fonds gardé par l’association Maison Jean Vilar

S’y trouvent en particulier : costumes de scène, registres et maquettes, affiches signées, et aussi photos de famille et livres de la bibliothèque personnelle de Gérard Philipe.

Le 15 novembre 2022, l’AMAGP est venue consulter les archives et en particulier le fonds confié récemment par Olivier, fils de Gérard Philipe.

Visite d’expositions à la Maison Jean Vilar à Avignon

Le 15 novembre 2022, une délégation s’est rendue à la Maison Jean Vilar à Avignon, partenaire de l’AMAGP.


Trois expositions en cours rendent hommage à Gérard Philipe :

  • « Ce soir, oui tous les soirs Notes de service, TNP 1951-1963 » : cette exposition centrée sur les petites fiches cartonnées que Jean Vilar épinglait sur le tableau de service de sa troupe donne un aperçu des coulisses du TNP durant sa période mythique. Gérard Philipe y apparaît par moments, en compagnon fidèle et acteur incontournable. Les remarques du directeur de troupe sont vigilantes et exigeantes : « Le ton dégagé n’est pas de mise ici », « il suffira que les violences soient plus violentes, que les sentiments amoureux soient plus éprouvés encore », mais aussi « ne craignez pas les rires de la salle » et encore « je suis d’accord avec Gérard Philipe ». La sélection fait entendre le ton gentiment grondeur d’un chef de troupe paternel et attentif à tout : les accessoires mal rangés, la peinture à refaire dans les loges, les notes de frais, la visite médicale… Les notes de service sont exposées dans des vitrines verticales, au milieu de grandes caisses de costumes et de panneaux jouant du centon de morceaux choisis. L’ensemble donne à entendre l’ambiance joyeuse et étonnament vivante d’une troupe au travail, au service d’un public dont Jean Vilar s’astreint à recueillir les avis écrits à la fin de chaque représentation.
  • « Côté jardin Jean Vilar et Avignon » : il s’agit côtel de Crochans ette fois de grands panneaux photographiques exposés en extérieur, dans le Jardin des Doms, au dessus du Palais des papes. La vie des premières années du Festival d’Avignon y est retracée en mariant le passé au présent d’un lieu de promenade très fréquenté par les Avignonnais, sur les hauteurs du Rhône. Les photographies d’Agnès Varda et de Maurice Costa, un artiste local, sont présentées avec beaucoup de malice et de savoir-faire dans des endroits choisis : un couple d’amoureux au fond d’un bosquet, un portrait hiératique près d’une statue de plâtre, une scène de pétanque au bout d’un sentier. Gérard Philipe y est présent au milieu de la jeune troupe, joyeuse et dynamique dans la chaleur des étés provençaux. La photo fameuse de Gérard allongé sur les planches, la tête posée sur les genoux d’Anne, se découvre soudain derrière un grand pin centenaire. Capture d’un moment d’intimité palpitant et sensible. On aime à penser que le couple complice se repose à jamais sous le ciel d’Avignon.
  • « Infiniment – Maria Casarès, Gérard Philipe-une évocation » : c’est l’exposition phare du centenaire Gérard Philipe à Avignon, concoctée avec un grand savoir-faire par Jean-Pierre Moulères. Les destins parallèles de Maria Casarès et de Gérard Philipe, qui auraient tous deux eu 100 ans cette année, sont racontés en mots et en images dans la pénombre des salles et couloirs voûtés de l’hôtel de Crochans qui accueille depuis 1979 l’association de la Maison Jean Vilar. Les deux trajets nous racontent des origines bien différentes et des parcours marqués par des choix très personnels, pour une même passion une vie de théâtre et de cinéma dans le contexte artistique des années 1950, et desc

Les 100 ans de Maria Casares

Maria Casarès et Gérard Philipe, répétitions du Cid, Festival d’Avignon 1958 répétitions du Cid 
Photographie : Agnès Varda
© succession agnès varda – fonds déposé à l’Institut pour la photographie

C’est la fête au domaine de La Vergne : Maria Casarès aurait eu 100 ans !

Retrouvez les animations du centenaire dans le programme joint.

Plus d’informations sur le site de l’association « Maison Maria Casares » : http://mmcasares.fr/calendrier/centenaire-de-maria-casares

Lectures en Avignon

  • « Les enfants terribles : Maria Casares et Gérard Philipe »

La lecture-spectacle, à partir des archives et de la correspondance de ces deux jumeaux de la scène et de l’écran des années 1950, s’est donnée le 11 juillet 2022 aux jardins de Mons de la Maison Jean Vilar.

dramaturgie : Johanna Silberstein – partenariat Maison Maria Casares / Maison Jean Vilar

https://maisonjeanvilar.org/event/les-enfants-terribles-maria-casares-et-gerard-philipespectacles-lectures/

  • « Gérard Philipe – Jean Vilar, Correspondances« 

Anne-Marie Philipe et Stanislas Nordey lisent les lettres et font entendre les correspondances multiples entre ces deux géants de la scène avignonaise : le 21 juillet, aux jardins de Mons de la Maison Jean Vilar.

Montage : Anne-Marie Philipe – organisateur : Association Jean Vilar

La « Maison Maria Casarès » rend visite à la « Maison d’Anne et Gérard Philipe »

C’était au tour des responsables de la maison Maria Casarès de venir, le 17 février,  à Cergy pour une rencontre entre l’ élue à la culture, le service cuture de Cergy et l’association de la maison d’Anne et Gérard Philipe.

 La visite a débuté par une découverte de l’Axe majeur et la passerelle de Dani Karavan, avec l’amphithéâtre Gérard Philipe. Tout au long de cette promenade jusqu’à la maison des bords de l’Oise, ont été évoqués l’apport du couple Philipe aux pratiques artistiques et à leur engagement culturel et social et aux liens qui les rapprochaient à Maria Casarès.

La découverte de l’intérieur de la maison d’Anne et Gérard Philipe a suscité des réflexions autour du projet de valorisation et des différents types d’actions culturelles envisageables, notamment par des résidences d’écriture.

Les participants en ont d’ailleurs profité pour se rendre dans l’ancienne maison du jardinier, Mr Brunet. Même si sa rénovation n’est pas encore prévue dans les travaux de restauration, l’utilisation de l’habitation de ce proche du couple Philipe demeure néanmoins une solution adaptée pour l’accueil de futures résidences d’artistes.

La « Maison Maria Casarès » sera l’un des partenaires privilégié dans la réflexion du projet d’établissement en cours d’ élaboration.

L’habitation de Mr Brunet, lieu
d’accueil de futurs résidents ?
La vue de la fenêtre de la maison
de Mr Brunet sur l’Oise